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IDENTITÉ D'Artagnan. Nom donné par un visage oublié, baptisée d'après l'imaginaire d'un homme sacrifié.
SURNOM(S) Dart, Darty pour ceux aimant les consonances « mignonnes » en tous genre. D’autres souffleront la peste à son passage, sous-entendant que ses regards avares vous inocule le choléra.
ÂGE Quatre cent ans.
GENRE Taillée pour ressembler à la femme, éduquée pour être un soldat. D’Artagnan ne se sent proche d’aucun genre et ne se complaît dans aucune comparaison. On dit « elle », parfois « il » face à ses airs androgynes. Elle n’en pense rien.
OCCUPATION(S) Terpsichore, Nemos. Petite ombre gracile, mains armées discrètes, charmes contestables. On lui a dit, « tu n’es pas assez jolie, mais tu feras l’affaire » // Coursière dans l’Ouest, est sa couverture.
ORIENTATION Un cœur sentimental, un esprit sceptique. Le genre n’a pas sa place dans ses pérégrinations.
ORIGINES Née durant la Grande Guerre dans le Sud de l’île, en porte les stigmates dans sa chaire rocailleuse comme dans sa mémoire.
HABITATION Dans une bicoque en bordure de l’Ouest.
GROUPE Kosmo.
FEAT Ayanami Rei.
AIGUE-MARINE Pierre bleue, cristalline, dont elle tire la couleur particulière de ses cheveux. Mohs : 7.5
PERTE DE FRAGMENTS Elle en a perdu de nombreux, surtout au commencement de sa vie. Si D’Artagnan se souvient où elle est née, la Grande Guerre lui a retiré de nombreux fragments de sa mémoire. Il y a des visages qu’elle a oublié, des moments dont elle ne se remémorera jamais. Et ça lui fout la nausée de savoir qu’à tout jamais elle a été condamnée par l’avarice des Hommes à ne plus pouvoir contempler son propre passé.
PERTE DE FRAGMENTS Elle en a perdu de nombreux, surtout au commencement de sa vie. Si D’Artagnan se souvient où elle est née, la Grande Guerre lui a retiré de nombreux fragments de sa mémoire. Il y a des visages qu’elle a oublié, des moments dont elle ne se remémorera jamais. Et ça lui fout la nausée de savoir qu’à tout jamais elle a été condamnée par l’avarice des Hommes à ne plus pouvoir contempler son propre passé.
RÔLE Terpsichore chez Nemos. Avec ses éclats de colères, sa manière de vous faire taire, on l’aurait imaginé davantage calliope. À faire la guerre, à se démener. Mais D’Artagnan n’est pas ceux qu’elle méprise, l’idée de leur ressembler lui enlève le sommeil. Si elle doute être la plus douée elle n’en est pas moins la plus dévouée.
ANCIENNETÉ Tu l’as vu naître cet ordre. Mais il t’en as fallu du temps pour prendre part. Environ 200 ans que tu y offices.
ANCIENNETÉ Tu l’as vu naître cet ordre. Mais il t’en as fallu du temps pour prendre part. Environ 200 ans que tu y offices.
VOTRE AVIS SUR L'ORDRE : LA GOUVERNANCE ACTUELLE DES TERRES VOUS CONVIENT ?
Tu n’aimes pas le monde dans lequel tu es né, ni la manière dont il a évolué. Tu sens bien que les ressources sont épuisées, concentrées vers cet Ordre qui ne cesse de vampiriser. Tu n’aimes pas voir ces grandes cités aux veines fatiguées, tu détestes voir tes semblables être chassés. En réalité, tu les hais.
AVEZ VOUS CONNAISSANCE DES AUTRES AFFILIATIONS ? QUE PENSEZ VOUS DE CELLES-CI ?
Tu les connais, malgré toi. Car il faut pouvoir discerner tes alliés de tes ennemis. Si tu hais l’Ordre, tu méprises Eskeia. Si tu te moques bien de Thessalonis, Anké sont à tes yeux des protégés.
QUE PENSEZ VOUS DES DIFFÉRENTES RACES PRÉSENTES SUR LES TERRES ? VOS RELATIONS SONT-ELLES BONNES ?
Oh, elles sont en réalités mauvaises avec la plupart. Tu es une petite abomination dans les yeux de tes compagnons. Alors tu caches ta véritable nature, toi qui en es fier. Car toi aussi, tu as besoin d’être reconnu par autre que les tiens. En réalité, tu regardes les individus, pas les races. Bien que Yvridio, les bénis, gagnent davantage ta méfiance que ton amitié.
QUE PENSEZ-VOUS DES DIEUX ?
C’est toute une dualité. Tu les respectes comme tu leur en veux. De bénir des humains censés te nuire, d’accorder à certains et pas à d’autres. De laisser faire. Ils jouent aux soldats de plombs avec vos vies et âmes.
Tu n’aimes pas le monde dans lequel tu es né, ni la manière dont il a évolué. Tu sens bien que les ressources sont épuisées, concentrées vers cet Ordre qui ne cesse de vampiriser. Tu n’aimes pas voir ces grandes cités aux veines fatiguées, tu détestes voir tes semblables être chassés. En réalité, tu les hais.
AVEZ VOUS CONNAISSANCE DES AUTRES AFFILIATIONS ? QUE PENSEZ VOUS DE CELLES-CI ?
Tu les connais, malgré toi. Car il faut pouvoir discerner tes alliés de tes ennemis. Si tu hais l’Ordre, tu méprises Eskeia. Si tu te moques bien de Thessalonis, Anké sont à tes yeux des protégés.
QUE PENSEZ VOUS DES DIFFÉRENTES RACES PRÉSENTES SUR LES TERRES ? VOS RELATIONS SONT-ELLES BONNES ?
Oh, elles sont en réalités mauvaises avec la plupart. Tu es une petite abomination dans les yeux de tes compagnons. Alors tu caches ta véritable nature, toi qui en es fier. Car toi aussi, tu as besoin d’être reconnu par autre que les tiens. En réalité, tu regardes les individus, pas les races. Bien que Yvridio, les bénis, gagnent davantage ta méfiance que ton amitié.
QUE PENSEZ-VOUS DES DIEUX ?
C’est toute une dualité. Tu les respectes comme tu leur en veux. De bénir des humains censés te nuire, d’accorder à certains et pas à d’autres. De laisser faire. Ils jouent aux soldats de plombs avec vos vies et âmes.
II.
CARACTÈRE
D’ARTAGNAN C’EST DE LA RAGE, ELLE EST SAUVAGE. PLEURE LE SOIR CAR TU NE MÉNAGES PAS SA MÈRE, SA CRÉATRICE.
D’ARTAGNAN NE T’AIME PAS CAR TU NE RESPECTES RIEN.
D’ARTAGNAN PLEURE DE RAGE, HURLE. IL Y A DES FOIS OÙ ELLE SOUHAITERAIT TE VOIR CREVER AU FOND D’UN FOSSÉ.
PUIS ELLE CHANGE D’AVIS, SE DIT QU’ELLE EST UNE VILAINE FILLE.
ELLE EST TIRAILLÉE.
ENTRE T’AIDER ET TE PLANTER.
CAR C’EST BIEN CONNU QU’ON NE CHANGE JAMAIS.
D’ARTAGNAN C’EST UN PELOTON D’EXÉCUTION.
GRAVE.
ELLE EST GRAVE.
DU BOUT DE SES MEMBRES BRISÉS,
ELLE VIENDRAIT TE COUPER,
DE LA JUGULAIRE AU BOUT DU NEZ
D’ARTAGNAN N’EST PAS LÀ POUR PLAISANTER.
ELLE VEUT SURVIVRE, TE FAIRE PAYER TES IMPURETÉS.
ELLE A UNE MISSION QU’ELLE N’A PAS OUBLIÉ.
NI HOMME, NI DIEU.
MAIS D’ARTAGNAN N’EST PAS UNE VÉRITABLE BÊTE,
ELLE RÊVE SON AGRESSIVITÉ, L’ENTREVOIE, SANS JAMAIS S’EXÉCUTER.
BIEN TROP SAGE, BIEN TROP ÉLEVÉE,
TIRAILLÉE.
ELLE SAIT QUE RIEN NE PEUT ÊTRE BÂTIT SUR DES MACCABÉES,
CAR CELA FAIT DES FONDATIONS PUTRÉFIÉES,
CORROMPUES JUSQU’À LA MŒLLE.
EN RÉALITÉ, ELLE NE L’AVOUERA JAMAIS.
DE PEUR D’ÊTRE MOQUÉE, DISCRIMINÉE.
MAIS D’ARTAGNAN NE RÊVE QUE D’UNE CHOSE,
ÊTRE AIMÉE, APPRÉCIÉE.
NE PAS SE SENTIR JUGÉE, PANSER TES PLAIES,
TE SUSURRER À QUEL POINT TU ES UN GRAIN DE SABLE PRÉCIEUX,
PARMI CETTE HISTOIRE PERNICIEUSE.
ELLE EST UN ÊTRE DONT LE PALPITANT BAT À CENT À L’HEURE,
ÉCLATÉ PAR MILLIER ENTRE SENTIMENT ET RAISON.
PROPRE HÉROÏNE DE SA TRAGÉDIE GRECQUE,
SA CATHARSIS EST TA CHAIRE, DANS LAQUELLE ELLE SE PERD.
AMOUREUSEMENT, ÉTERNELLEMENT.
D’ARTAGNAN EST LA MAIN TENDUE QUI TE RELÈVERA,
MAIS AUSSI CELLE QUI T’ÉTOUFFERA.
PETITE MADONNE DE SA PROPRE ÉCOLE,
ELLE MOURRA ENTOURÉ D’UNE CAMISOLE.
D’ARTAGNAN NE T’AIME PAS CAR TU NE RESPECTES RIEN.
D’ARTAGNAN PLEURE DE RAGE, HURLE. IL Y A DES FOIS OÙ ELLE SOUHAITERAIT TE VOIR CREVER AU FOND D’UN FOSSÉ.
PUIS ELLE CHANGE D’AVIS, SE DIT QU’ELLE EST UNE VILAINE FILLE.
ELLE EST TIRAILLÉE.
ENTRE T’AIDER ET TE PLANTER.
CAR C’EST BIEN CONNU QU’ON NE CHANGE JAMAIS.
D’ARTAGNAN C’EST UN PELOTON D’EXÉCUTION.
GRAVE.
ELLE EST GRAVE.
DU BOUT DE SES MEMBRES BRISÉS,
ELLE VIENDRAIT TE COUPER,
DE LA JUGULAIRE AU BOUT DU NEZ
D’ARTAGNAN N’EST PAS LÀ POUR PLAISANTER.
ELLE VEUT SURVIVRE, TE FAIRE PAYER TES IMPURETÉS.
ELLE A UNE MISSION QU’ELLE N’A PAS OUBLIÉ.
NI HOMME, NI DIEU.
MAIS D’ARTAGNAN N’EST PAS UNE VÉRITABLE BÊTE,
ELLE RÊVE SON AGRESSIVITÉ, L’ENTREVOIE, SANS JAMAIS S’EXÉCUTER.
BIEN TROP SAGE, BIEN TROP ÉLEVÉE,
TIRAILLÉE.
ELLE SAIT QUE RIEN NE PEUT ÊTRE BÂTIT SUR DES MACCABÉES,
CAR CELA FAIT DES FONDATIONS PUTRÉFIÉES,
CORROMPUES JUSQU’À LA MŒLLE.
EN RÉALITÉ, ELLE NE L’AVOUERA JAMAIS.
DE PEUR D’ÊTRE MOQUÉE, DISCRIMINÉE.
MAIS D’ARTAGNAN NE RÊVE QUE D’UNE CHOSE,
ÊTRE AIMÉE, APPRÉCIÉE.
NE PAS SE SENTIR JUGÉE, PANSER TES PLAIES,
TE SUSURRER À QUEL POINT TU ES UN GRAIN DE SABLE PRÉCIEUX,
PARMI CETTE HISTOIRE PERNICIEUSE.
ELLE EST UN ÊTRE DONT LE PALPITANT BAT À CENT À L’HEURE,
ÉCLATÉ PAR MILLIER ENTRE SENTIMENT ET RAISON.
PROPRE HÉROÏNE DE SA TRAGÉDIE GRECQUE,
SA CATHARSIS EST TA CHAIRE, DANS LAQUELLE ELLE SE PERD.
AMOUREUSEMENT, ÉTERNELLEMENT.
D’ARTAGNAN EST LA MAIN TENDUE QUI TE RELÈVERA,
MAIS AUSSI CELLE QUI T’ÉTOUFFERA.
PETITE MADONNE DE SA PROPRE ÉCOLE,
ELLE MOURRA ENTOURÉ D’UNE CAMISOLE.
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ANECDOTES
Pro-Nature. ● Car n’a pas oublié sa mission première. ● Ce n’est pas tant que la technologie la débecte, elle s’en sert. Mais naïvement, elle voudrait les voir cohabiter. Comme pour le reste finalement. ● On lui a souvent dit qu’elle n’était pas jolie. ● Peste souvent contre son portable. ● Cache sa nature de gemme. ● Avant d’habiter dans l’Ouest, elle accompagnait les malades/blessés dans l’Est. Mais quelqu’un qui vit trop longtemps sans prendre une ride, ça la fout mal, alors elle est partie du jour au lendemain. ● A tendance à être parano. ● Dès qu’elle peut, elle fuit un lieu pour un autre. ● En tant que coursière, elle livre vraiment des trucs louches parfois. ● Elle voyage beaucoup finalement.
HISTOIRE
D’Artagnan ne se souvient pas.
Et elle n’aime pas ça.
Elle sait que tu l’as baptisée d’un nom qui te faisais marrer, quelque chose que tu disais avoir inventé. Que tu l’appréciais. T’étais peut-être un vieillard, mais t’étais doux avec elle. Tu lui disais que tu l’enviais car elle était née dans un but précis, qu’elle était une bénédiction.
Et ce mot, elle l’a retenu, c’est toi qui le lui a appris.
Car jamais plus elle ne l’entendu.
Abomination est souvent revenu.
Mais bénédiction resta dans ta tombe, visage inconnu.
Tu es dorénavant un monument anonyme dans sa mémoire.
Car on l’a brisée. Tant et si bien que tu fût balayé. Qu’importe ton poids, ton importance vieillard.
Plus jamais elle ne reconnaitra ton faciès malgré sa détresse.
D’Artagnan se souvient de l’est,
Des palpitations que lui donnait les ruelles modestes.
Des coupes gorges dans lesquels elle était entraînée,
Des coups qu’elle a rendu et donné.
Mais aussi de ceux qu’elle a couvé,
Assis à leur chevet.
D’Artagnan regrette parfois le Sud,
Cela lui procure une sorte de décrépitude.
Elle aimerait revoir les siens,
Leur dire à quel elle y tient.
Les protéger, les couvrir de baisers.
Et elle n’aime pas ça.
Elle sait que tu l’as baptisée d’un nom qui te faisais marrer, quelque chose que tu disais avoir inventé. Que tu l’appréciais. T’étais peut-être un vieillard, mais t’étais doux avec elle. Tu lui disais que tu l’enviais car elle était née dans un but précis, qu’elle était une bénédiction.
Et ce mot, elle l’a retenu, c’est toi qui le lui a appris.
Car jamais plus elle ne l’entendu.
Abomination est souvent revenu.
Mais bénédiction resta dans ta tombe, visage inconnu.
Tu es dorénavant un monument anonyme dans sa mémoire.
Car on l’a brisée. Tant et si bien que tu fût balayé. Qu’importe ton poids, ton importance vieillard.
Plus jamais elle ne reconnaitra ton faciès malgré sa détresse.
D’Artagnan se souvient de l’est,
Des palpitations que lui donnait les ruelles modestes.
Des coupes gorges dans lesquels elle était entraînée,
Des coups qu’elle a rendu et donné.
Mais aussi de ceux qu’elle a couvé,
Assis à leur chevet.
D’Artagnan regrette parfois le Sud,
Cela lui procure une sorte de décrépitude.
Elle aimerait revoir les siens,
Leur dire à quel elle y tient.
Les protéger, les couvrir de baisers.
bsr alors moi c'est vertigo. c'est la faute de blake si je suis là, sachez-le.
vous êtes beaux, doux, tout comme ce forum face auquel j'suis outrée tellement il y a de beauté. J'espère que D'Artagnan vous plaira, j'vous fais des bsx.
XVIII
THE MOON